Après quatre mois en Antarctique et après avoir remonté l’Amérique entre Ushuaia et le Guatemala, c’est en Guadeloupe que j’ai débarqué.
Je suis arrivée en Guadeloupe après avoir visité d’autres îles des Antilles mais sans savoir trop où je mettais les pieds. J’ai glâné quelques infos sur des sites et blogs de tourisme, et avec un ami qui y vit, nous avons visité cette jolie île de la Guadeloupe.
Moi qui suis plus rando que plage, je me suis posée sur la Basse-Terre. De là, des balades sympas : celle de la Soufrière -sous le déluge tropical et dans la brume, la Vieille Dame ne se laissant pas voir facilement, celle des chutes du Garbet.
La Guadeloupe n’est pas réputée pour être une destination camping, et pour cause : aucun camping n’est présent sur l’île. Ce n’est pas faute d’avoir écumé un guide de campings. Mais c’est pourtant ce que j’y ai fait. Moyen du bord 🙂
La visite du mémorial ACTe de Pointe-à-Pitre est passionnante. L’histoire de l’esclavage y est relatée.
Le centre ville de Pointe-à-Pitre est coloré et parsemé de vieilles maisons pleines de charme.
Et puis, au détour d’une rue, le son des percussions du gwoka. Les gens souriants. Les odeurs de fruits au marché. Celles de poisson sur le port.
A Trois-Rivières se trouvent les bateaux pour les Saintes. Terre de Haut est une jolie île, mais sous la pluie diluvienne les couleurs ressortent un peu moins. Néanmoins, avant la pluie, la vue depuis le Fort Napoléon était jolie.
La liberté et le désir sont-ils compatibles ? Vous avez quatre heures.
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